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Taux de chômage le plus bas depuis 40 ans : merci la N-VA
« Le changement initié par la N-VA porte ses fruits. » La N-VA se réjouit du nombre historiquement bas de chômeurs dans notre pays. Fin décembre 2018, la Belgique comptait 327 403 chômeurs, soit une diminution de 6,5 % par rapport à l’année précédente et le chiffre le plus bas depuis 40 ans. « Le Tax shift Il est question de tax shift ou de glissement d’impôts lorsqu’un nouvel impôt est introduit ou qu’un impôt existant est majoré pour en réduire ou en supprimer un autre. La N-VA est partisane d’un glissement des charges sur le travail vers des charges sur la consommation ou la pollution de l’environnement, par exemple, mais pas d’un impôt qui augmente la pression fiscale totale. tax shift et la réduction des coûts salariaux et de l’impôt des sociétés ont eu leur effet. Un nombre record d’emplois ont été créés dans le secteur privé », explique la N-VA.
Renforcer les demandeurs d’emploi
Selon la N-VA, la réforme flamande des emplois subventionnés, comme le système ALE, explique en partie ce faible taux de chômage. « Il s’agit de renforcer les demandeurs d’emploi et de combler le fossé qui les sépare du marché du travail. Alors qu’auparavant, nous n’avions pas assez de travail, nous n’avons aujourd’hui plus assez de travailleurs pour pourvoir tous les postes.
Accent sur l’activation
L’accent doit être mis sur l’activation des chômeurs, des prépensionnés et des malades de longue durée, estime la N-VA. « Les allocations de chômage doivent être limitées dans le temps. Les malades de longue durée doivent être réactivités et il faut tarir le flux de prépensionnés », conclut la N-VA.