Fin du projet de « chat control »

L’Union européenne renonce à son projet controversé visant à obliger les applications de messagerie, comme WhatsApp, à scanner les messages privés à la recherche d’abus sur mineurs. Une décision que la N-VA salue.

« L’objectif était légitime, mais le moyen complètement inapproprié », estime le député fédéral Michael Freilich. « Forcer l’ouverture de messages cryptés aurait porté atteinte à la vie privée de millions de citoyens, sans garantie d’une sécurité accrue. Nous nous sommes opposés à cette proposition dès le départ, et nous sommes soulagés qu’elle soit désormais abandonnée. »

« La lutte contre les abus sexuels sur enfants reste une priorité, mais pas au prix de nos droits fondamentaux. Pour la N-VA, cela n’a jamais été négociable. »