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La N-VA réclame une évaluation du service ferroviaire d’intérêt général
« Continuer de faire rouler des trains vides n’a aucun sens. C’est effectivement une contrainte pour le personnel, pour l’entreprise et pour les caisses de l’État. » La N-VA réclame une évaluation continue du service ferroviaire d’intérêt général.
Côté francophone, la CSC Transcom demande une réduction drastique du service ferroviaire. Selon le syndicat, le service ferroviaire restreint d’intérêt national est une punition pour les membres du personnel qui continuent de travailler. Un mauvais signal pour les travailleurs d’autres secteurs qui comptent sur le train pour permettre à notre société de continuer de tourner.
Un audit nécessaire
La N-VA réclame un audit du service ferroviaire d’intérêt général. « Le système étant en place depuis plusieurs semaines, une évaluation s’impose », explique le parti. « Continuer de faire rouler des trains vides n’a aucun sens. C’est effectivement une contrainte pour le personnel, pour l’entreprise et pour les caisses de l’État. »
Une offre basée sur la demande
La N-VA plaide pour une offre basée sur la demande. On voit trop de trains vides rouler. Mais dans le même temps, des liaisons empruntées par des soignants travaillant tard sont supprimées. « Les trains ne doivent circuler qu’en cas de demande sur le terrain. »
Pas d’interruption maximale du travail
Une réduction de service en vue d’une interruption maximale du travail pour le personnel ferroviaire n’est donc pas une bonne idée, selon la N-VA. « Nous devons certes éviter de surcharger le personnel, mais avec la réduction du service, les besoins en personnel ont déjà baissé. »
Foyers d’agents infectieux
Certains services, comme le nettoyage, restent essentiels. Les boutons et les poignées de porte sont de véritables foyers d’agents infectieux, tout comme les écrans tactiles des distributeurs de billets. « Nous remercions toutes ces personnes, dans de nombreuses fonctions, qui continuent de travailler », conclut la N-VA.