N-VA : le gouvernement fédéral doit entendre le cri de détresse des médecins généralistes

16 septembre 2020

« Les médecins sont en première ligne face au coronavirus, nous devons les soulager au maximum sur le plan administratif. » La N-VA souhaite que le gouvernement fédéral prenne des mesures afin de réduire la pression sur les médecins généralistes. Elle pense par exemple à un télésecrétariat chargé de prendre les appels des citoyens ayant des questions liées au coronavirus.

Les médecins tirent la sonnette d’alarme : ils sont envahis de patients. Le mois de septembre est toujours chargé pour les médecins généralistes. Avec la rentrée scolaire, le nombre de rhumes augmente systématiquement. Mais la pression est encore tout autre cette année. Les patients arrivent de partout. Aux consultations habituelles viennent s’ajouter les patients potentiellement atteints du coronavirus, qui doivent être testés et à qui il faut téléphoner. Sans oublier la grippe saisonnière qui arrive.

Le coronavirus augmente la pression et le stress

La N-VA souhaite des mesures afin de réduire la pression sur les médecins généralistes, notamment en limitant au maximum la charge administrative. « Il faudrait par exemple voir s’il n’est pas possible que le patient s’adresse au médecin généraliste ou directement à un centre de triage, sans prescription, afin de passer un test de dépistage. Les consultations traditionnelles se trouvent sous pression car les médecins reçoivent en permanence des appels de patients au sujet du résultat de leur test ou de la nécessité de passer un test. Cette quantité d’appels augmente le stress et réduit le temps disponible pour les autres consultations. »

Permettre aux médecins de faire ce qu’ils ont à faire : garantir les soins

La N-VA souhaite soulager les médecins généralistes. « Peut-être pourrions-nous aider les médecins à travers un télésecrétariat. Ils auraient ainsi plus de temps pour faire ce qu’ils doivent faire : aider leurs patients et garantir la continuité des soins. Le gouvernement fédéral doit par ailleurs collaborer plus étroitement avec les médecins généralistes. Ils sont les piliers de nos soins de santé sur le terrain. En ces temps troublés, ils sont les mieux placés pour signaler rapidement les changements et aider à orienter la politique. »

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