Le rapport par pays de la Commission européenne confirme la position de la N-VA : il faut réduire les dépenses

1 mars 2019

« La N-VA affirme depuis des années que le problème se situe au niveau des dépenses et est ravie que la Commission européenne la rejoigne désormais. » La N-VA réagit au dernier rapport par pays de la Commission européenne concernant la Belgique. La Commission y loue d’une part les importantes mesures mises en œuvre sous le gouvernement N-VA et souligne d’autre part les nombreux défis restants. « Pour la première fois, la Commission met clairement en évidence dans son rapport le cœur du problème budgétaire belge : les dépenses beaucoup trop élevées », observe la N-VA.

Réduire les dépenses au niveau des autorités

Afin d’inverser la tendance, il faut couper au niveau des autorités, de la multitude de subventions et des dépenses sociales sans cesse croissantes. « Au sein du gouvernement, nous avons pu réduire les dépenses publiques de 12 milliards d’euros. Nous avons utilisé la moitié pour combler le budget et l’autre a été rendue aux citoyens. Il était grand temps de réduire ces impôts colossaux », explique la N-VA.

Remettre les choses en ordre

Mais la N-VA a bien conscience que le chemin est encore long. La liste des politiques demandées par l’Europe, outre la poursuite de l’assainissement du budget, est impressionnante : investir chaque année quatre milliards d’euros de plus dans l’infrastructure, nous préparer à 20 milliards supplémentaires chaque année de coûts du vieillissement, poursuivre la réduction des charges sur le travail à travers un nouveau Tax shift Il est question de tax shift ou de glissement d’impôts lorsqu’un nouvel impôt est introduit ou qu’un impôt existant est majoré pour en réduire ou en supprimer un autre. La N-VA est partisane d’un glissement des charges sur le travail vers des charges sur la consommation ou la pollution de l’environnement, par exemple, mais pas d’un impôt qui augmente la pression fiscale totale. tax shift , poursuivre l’activation de la population, résoudre le problème de la complexité de notre structure étatique, assouplir le marché du travail. « On ne saurait renverser un quart de siècle de gaspillage par la gauche en à peine une législature. Mais nous sommes à mi-chemin, et si les électeurs acceptent de nous accorder cinq ans de plus, nous pourrons faire en sorte de rattraper les pays modèles d’Europe du Nord, où tout est parfaitement en ordre », conclut la N-VA.

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