La N-VA favorable à un service minimum dans l’aviation

13 février 2019

L’aéroport de Zaventem est le deuxième pôle économique du pays. Des dizaines de milliers d’emplois dépendent du bon fonctionnement de l’aéroport. Si l’aéroport se retrouve à l’arrêt en raison d’une grève, l’impact sur l’économie est colossal. « Un service minimum s’impose donc de toute urgence », explique la N-VA.

Il est grand temps qu’un service minimum soit également mis en place dans l’aviation, estime la N-VA, qui figure parmi les initiateurs du service minimum à la SNCB. « Brussels Airport est en concurrence directe avec les aéroports internationaux voisins, comme Schiphol, Eindhoven et Charles de Gaulle. Une grève comme celle du 13 février a un impact négatif sur la confiance et risque de faire fuir les compagnies aériennes. »

Clarté pour les voyageurs

« Aujourd’hui, les voyageurs bénéficient au moins d’une relative certitude quant aux trains qui circulent ou non. Cela doit aussi être le cas dans l’aviation. Une plus grande clarté serait ainsi assurée pour les milliers de passagers de l’aéroport de Zaventem et des aéroports régionaux quant à leur vol. »

Le service garanti dans le secteur de l’aviation faisait partie de l’accord de gouvernement Michel I. « Malheureusement, le ministre Bellot n’en a rien fait », déplore la N-VA.

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