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La N-VA à propos du superkern : « Il faut mettre un terme à la politique à court terme et aux mesures à hauteur de centaines de millions qui ne favorisent nullement la relance »
Il faut mettre un terme à la politique à court terme du superkern et aux mesures à hauteur de centaines de millions qui ne favorisent nullement la relance. Le superkern a approuvé vendredi dernier un nouveau train de mesures à hauteur de 300 à 400 millions d’euros. La N-VA refuse de soutenir ces mesures et explique où se situe le problème dans De Zevende Dag.
Contraire à la politique suédoise
Certaines de ces mesures sont contraires à l’héritage suédois que la N-VA entend conserver. Les emplois de fin de carrière, par exemple, qui consistent à payer des gens pour ne pas travailler. « On prend des mesures contraires à la politique suédoise, qui coûtent des millions d’euros. De l’argent que l’on ne peut donc pas utiliser en vue d’une véritable relance. »
Relancer les discussions en vue de la formation d’un gouvernement
Pour la N-VA, le problème est plus profond : il faut relancer les discussions en vue de la formation d’un nouveau gouvernement. « Nous avons demandé de mettre un terme à la politique à court terme et aux mesures qui ne favorisent nullement la relance. Nous n’avons pas besoin d’un quelconque superkern mais d’un nouveau gouvernement. »
La formule du superkern est révolue
Les discussions en vue d’un axe mauve-jaune s’annoncent délicates, et la N-VA demande de les entamer au plus vite. « Un tel axe ne pourra être formé qu’à travers des discussions ouvertes et sérieuses. On ne peut plus tergiverser. La pression monte, la formule du superkern est révolue. »
Les ministres-présidents en tant que représentants objectifs
Pour la N-VA, l’axe PS/N-VA permettrait de former une réelle majorité avec le gouvernement résiduel. « Les ministres-présidents des deux principales régions pourraient servir de piliers afin d’ériger ce pont. »