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Bart De Wever met en garde contre le programme du PS : « 1221 pages, 10 millions d’impôts nouveaux par page »
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Le 9 juin, chaque électeur pourra décider de l'orientation de ce pays pour les cinq prochaines années. En Flandre comme en Wallonie, chacun aura la possibilité de faire le bon choix. Bart De Wever a parcouru le programme du PS et vous livre son analyse dans une vidéo. « Magnette souhaite dépenser des milliards supplémentaires Pour financer tout cela, le PS fait appel à votre épargne, celle des travailleurs. »
« Ce pays traverse une période économique difficile. Notamment à cause de l'absence de réformes fédérales, les prévisions de croissance sont mauvaises et nous aurons bientôt le pire déficit budgétaire de toute l'Europe. Notre dette augmente ainsi d'année en année. Et, vu la hausse actuelle des taux d'intérêt, elle est plus difficile à rembourser qu’auparavant. L'année dernière la Belgique a vu plus de 10 milliards d'euros disparaître dans le remboursement de ces intérêts. Cela correspond à peu près au budget de la défense, de la police et de la justice réunis. Imaginez tout ce que nous aurions pu faire avec pareille somme. Selon toutes les prévisions, ce problème ne fera que s'aggraver. L’accumulation de ces dettes doublera nos intérêts d'ici à 2030. C’est intenable.
Dans une telle situation, on aurait pu s'attendre à ce que le gouvernement incite davantage de personnes à travailler. Il y aurait dès lors moins de dépenses pour les prestations sociales. Mais, malheureusement, c'est tout le contraire qui s'est produit. »
Pas d’économies au programme du PS
Le prochain gouvernement, peut-être ? Le programme du PS n’augure en tout cas rien de bon. Il continue à prôner des solutions dont l'inefficacité a déjà été prouvée dans le monde entier. Le programme électoral du PS compte 1 221 pages, mais vous n’y trouverez guère le verbe "économiser". En revanche, il ne faut pas chercher longtemps après les dépenses supplémentaires. Le PS prévoit toujours plus de dépenses publiques et cela se lit dans son programme. Le PS promet notamment des tarifs sociaux additionnels pour ceux qui ne travaillent pas, des allocations de chômage et un revenu d' Intégration La Flandre mène une politique d’intégration. Il s’agit d’une forme accompagnée, ciblée et dirigée d’intégration sociale de personnes d’origine étrangère dont l’objectif consiste à donner aux nouveaux-venus une place à part entière dans la communauté grâce à l’inclusion et non l’exclusion. L’intégration par entre autres des cours de langues et d’intégration a été concrétisée grâce à la participation de la N-VA au Gouvernement flamand depuis 2004 et à la désignation d’un ministre de l’Intégration. intégration encore plus élevés, de nombreuses choses qu’ils veulent rendre "gratuites", un revenu de base pour chaque jeune sans aucun effort pour l'obtenir, et bien sûr le cheval de bataille de Paul Magnette : tout le monde doit pouvoir travailler six heures de moins par semaine pour le même salaire.
Le contribuable flamand est le dindon de la farce
Afin de financer tout cela, le PS se tourne vers les travailleurs et leur épargne. Avez-vous mis de côté une poire pour la soif après des années de dur labeur ? Avez-vous investi dans des actions ? Avez-vous une épargne-pension ? Dommage, car le PS veut encore plus taxer tout ceci. Et ce ne sont là que quelques exemples… En les additionnant, on atteint facilement 10 ou 15 milliards d'euros d'impôts nouveaux, soit un bon 10 millions d'euros par page de leur programme. Et malgré tout cela, ils n’arrivent toujours pas à financer leurs dépenses folles. Loin s'en faut.
Comment peut-on continuer d’accepter cela? Ces dernières années, c’est l’agenda du PS qui a été mis en œuvre. Et cela pourrait être à nouveau le cas si on ne fait rien pour empêcher un gouvernement Vivaldi 2
Redressement
Le 9 juin, vous aurez donc le choix entre trois options : vous pouvez voter pour l'un des partis qui sont aujourd'hui au pouvoir au niveau fédéral. C'est la voie royale vers Vivaldi II.
Une deuxième option consiste à exprimer un vote de contestation pour un parti extrême, ce qui motivera les partis au pouvoir à poursuivre la coalition actuelle, sous le slogan : "Tous ensemble contre les extrêmes".
Pour ceux et celles qui veulent se débarrasser de la politique désastreuse de Vivaldi, qui veulent mettre fin à la domination de la gauche et enfin faire évoluer les choses dans la bonne direction, il n’y a qu’une seule option : voter pour la N-VA.