Assita Kanko et d’autres femmes célèbres à travers le monde expriment leur dégoût : « Les viols commis par le Hamas ne doivent plus être étouffés »

Dans un message vidéo, l’eurodéputée Assita Kanko et d’autres femmes célèbres appellent les dirigeants du monde entier à condamner les viols commis par le Hamas le 7 octobre et à poursuivre leurs auteurs. « La souffrance des femmes juives dans les villages autour de Gaza m’a profondément touchée. Nous ne pouvons pas nous taire par peur ou par souci du politiquement correct. Nous devons crier notre colère et notre tristesse. Nous devons rendre hommage à ces femmes en racontant leur histoire et en exigeant que cela ne se reproduise plus jamais, où que ce soit dans le monde. »

En plus de l’eurodéputée Assita Kanko, Ariana Huffington (Huffington Post), Mayam Bialik (The Big Bang Theory), Sheila Katz (National Council of Jewish Women) et Ginnifer Goodwin (Le Sourire de Mona Lisa) appellent à lutter ensemble contre les viols et les violences sexuelles. Elle dénoncent le fait que des violences sexuelles soient systématiquement commises lors de conflits. Elles appellent à surmonter les différences et à ne plus tolérer ni taire les violences sexuelles alors que les preuves sont nombreuses.

Des féministes bien silencieuses

« Trop de défenseurs autoproclamés des droits des femmes sont restés longtemps silencieux avant d’enfin condamner les viols commis par le Hamas le 7 octobre. Jusqu’au Secrétaire général de l’ONU (António Guterres), ils ont passé sous silence le fait que les terroristes du Hamas avaient violé, humilié et mutilé à grande échelle des femmes israéliennes. Alors que le Hamas diffusait fièrement des vidéos montrant des femmes blessées ramenées tels des trophées à Gaza, de nombreuses féministes occidentales n’ont pas exprimé la moindre condamnation. » Pour Kanko, ces féministes ne méritent pas ce titre.

Profond dégoût

Les actes bestiaux des terroristes ont été révélés peu après l’attaque du Hamas. Des exécutions, des décapitations et des mutilations de personnes jeunes et âgées ont été filmées et décrites par des témoins. Il est rapidement apparu que les terroristes s’en prenaient également aux femmes. « Les images du corps de Shani Louk à l’arrière d’une camionnette, alors que des membres répugnants du Hamas lui crachent dessus, crient Allahu akbar et l’exhibent, sont terrifiantes. Elles valent plus que mille études et disent tout. Shani Louk était jeune et voulait profiter de la vie. Au lieu de cela, sa vie a pris fin entre les mains du Hamas », raconte Kanko. « En tant que femme, mère et responsable politique, j’ai ressenti un profond dégoût face au silence assourdissant de tant de personnes puissantes après les crimes du 7 octobre. »