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Arriéré record au niveau du traitement des demandes d’asile : « Le gouvernement a totalement perdu le contrôle »
L’arriéré de traitement des demandes d’asile par le CGRA atteint des sommets. D’après les dernières statistiques du Commissariat général, il est passé de 20 086 à 21 202 dossiers en seulement un mois. Theo Francken : « Cela fait une hausse d’environ 6 % en à peine un mois. Il est évident que le gouvernement a totalement perdu le contrôle de la politique d’asile. »
Le nombre de demandes d’asile a atteint un niveau record en février 2024, avec 2804 nouvelles demandes sur ce seul mois. Au total, 5921 demandes ont déjà été enregistrées en 2024, soit une augmentation de 14 % par rapport à la même période l’an dernier.
Un arriéré historiquement élevé
Si le nombre de demandes est déjà préoccupant, l’arriéré au niveau de la prise de décision est lui énorme. Plus de 33 600 personnes attendent une décision concernant leur demande d’asile, et plus de 21 000 dossiers sont en attente. Theo Francken : « De janvier à février, l’arriéré a augmenté d’environ 6 %. C’est du jamais vu. Nous avons atteint un niveau record. Il est évident que la politique actuelle du gouvernement Vivaldi est inadéquate pour résoudre cette crise. »
Une liste d’attente interminable et des personnes à la rue
Pendant ce temps, 3400 personnes doivent survivre dans la rue parce que le gouvernement ne leur fournit pas d’abri. C’est aussi un triste record. Theo Francken : « C’est un exemple parfait de mauvaise gestion sur des années par un gouvernement de gauche composé de verts et de socialistes. Pourquoi la presse n’en parle-t-elle pas ? Si cela s’était passé sous mon administration, tous ces politiciens et journalistes de gauche auraient exigé ma démission. »
L’échec de la politique « anti-Francken »
Le gouvernement Vivaldi a par ailleurs fait l’objet de plus de 9000 condamnations pour violation du droit international, un record absolu. « La politique dite 'anti-Francken' du gouvernement Vivaldi est un échec total. Jamais la situation n’a été aussi grave, le gouvernement ayant totalement perdu le contrôle de la politique d’asile », conclut Francken.