Vers un service d'inspection unifié

18 avril 2017

Selon le syndicat CSC, le nombre de contrôles visant à vérifier que les entreprises prennent suffisamment de mesures de prévention contre le burn-out est insuffisant. Cela s’expliquerait par le manque d'inspecteurs. La N-VA n’est guère surprise. « Nous n’avons pas besoin d’une extension du personnel », souligne le parti, « nous devons aller vers une inspection unifiée. »

Le nombre de travailleurs malades de longue durée a atteint un niveau record en 2016. Selon la CSC, les 128 inspecteurs actuels ne suffisent pas pour vérifier que les entreprises s’engagent suffisamment dans la lutte contre ce phénomène.

Une réforme de fond

Selon la N-VA, une extension du nombre d'inspecteurs n’est pas la solution. Celle-ci privilégie une Intégration La Flandre mène une politique d’intégration. Il s’agit d’une forme accompagnée, ciblée et dirigée d’intégration sociale de personnes d’origine étrangère dont l’objectif consiste à donner aux nouveaux-venus une place à part entière dans la communauté grâce à l’inclusion et non l’exclusion. L’intégration par entre autres des cours de langues et d’intégration a été concrétisée grâce à la participation de la N-VA au Gouvernement flamand depuis 2004 et à la désignation d’un ministre de l’Intégration. intégration plus poussée des divers services d'inspection sociale. « Nous plaidons depuis longtemps en faveur d'un service unifié efficace, avec des inspecteurs qui effectuent un premier contrôle et, si un examen supplémentaire s’impose, un back-office disposant d'une expertise spécifique. Des étapes ont déjà été entreprises en ce sens, mais la réforme aurait pu aller plus loin », conclut la N-VA.

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